Je participe au prochain congrès de l'Association francophone pour le savoir, anciennement l'Association canadienne-française pour l'avancement des sciences (voir l'exposition historique du Service des archives et de gestion des documents de l'UQAM, ici).
C'est sous l'égide de l'Observatoire des médias sociaux en relations publiques de l'Université Laval que je suis invité au colloque thématique Usage des médias sociaux: enjeux sur la e-réputation des organisations.
Accédez au programme complet du mardi 7 mai 2013.
Pour aborder les enjeux de la réputation numérique (ou e-réputation), on peut examiner trois caractéristiques des relations publiques numériques: la transparence, la porosité et le pouvoir de transformation (ce que les observateurs britanniques nomment agency).
Ces trois grandes caractéristiques peuvent renforcer ou affaiblir la e-réputation des individus et des organisations.
Ces trois grandes caractéristiques peuvent renforcer ou affaiblir la e-réputation des individus et des organisations.
Par ailleurs, les auteurs du rapport bourgogne (pdf) intitulé La réputation de votre entreprise : est-que votre actif le plus stratégique est en danger ? (Nathalie de Marcellis-Warin et Serban Teodoresco, CIRANO, avril 2012) postulent que « en vue d’améliorer la façon dont les organisations gèrent
leur plus précieux actif » - la réputation - […] les sociétés doivent « effectuer la transition de la
gestion réactive à la gestion proactive ».
Ils proposent ainsi une
démarche et une méthodologie, notamment par le biais d’une bonne connaissance
de la structure des risques et de ses facteurs déclencheurs.
Mais au-delà de la méthodologie offerte, cette gestion proactive trouve-t-elle un écho particulier auprès des principes et surtout, des nouvelles responsabilités attribuées aux relations publiques par le Mandat de Melbourne ?
Voilà donc quelques éléments que j'aborderai dans ma présentation.
Merci de votre lecture !
Patrice Leroux