La quatrième édition de l'ouvrage de Danielle Maisonneuve vient de paraître en cette fin de mois d'août 2010 aux Presses de l'Université du Québec (PUQ). Pour de nombreux étudiants universitaires, il s'agit du grand livre de référence en voie de devenir un classique en matière de relations publiques. Un de ses grands intérêts pédagogiques consiste justement en son approche hybride: conceptuelle et instrumentale.
Par ailleurs, les professionnels y trouveront matière à réflexion en raison des grands bouleversements dans le monde des communications interactives.Les médias sociaux redéfinissent l'espace médiatique en favorisant une participation citoyenne. Comment les organisations y réagissent-elles, au plan de la communication, certes, mais aussi au sein de leur propre organisation?
Des études de cas récentes appuient les propos tenus dans les chapitres de l'ouvrage. Certaines de ces études ont remporté des Prix d'excellence de la Société québécoise des professionnels en relations publiques en 2009.
Plusieurs universitaires et professionnels y ont contribué dont Pierre Bérubé, Solange Tremblay, ARP, Pierre Gince, ARP, et Ritha Cossette qui signe le chapitre sur l'éthique.
Guy Litalien, ARP, professeur au Certificat de relations publiques de l'Université de Montréal, a collaboré au chapitre portant sur l'évaluation et les indicateurs mesurables.
Enfin, Martine Dorval, ARP, FSCRP, a collaboré à l'important chapitre Démocratie et information citoyenne dans l'espace médiatique. J'y ai pris part également, quoique de modeste façon; je remercie Danielle Maisonneuve de l'avoir mentionné.
Cette nouvelle édition de près de 500 pages marque non seulement une nouvelle évolution des relations publiques au Québec mais démontre clairement à quel point les dimensions multidisciplinaires de la fonction ont atteint un niveau de maturité inégalé dans notre histoire contemporaine.
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